[REQ_ERR: 401] [KTrafficClient] Something is wrong. Enable debug mode to see the reason. Antoinette-Célina Boyer – Starlightsparkle-madia
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Antoinette-Célina Boyer

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Une vidéo virale a mis le feu aux réseaux sociaux : les distributeurs automatiques de billets vont-ils disparaître ? On parle de justificatifs, de retraits impossibles, et même de décisions politiques cachées. Le choc est grand. Beaucoup s’inquiètent pour leur argent liquide. Pourtant, derrière cette rumeur, la réalité est bien différente.

Les banques, elles, avancent une explication bien plus simple et bien moins inquiétante. Alors, que se passe-t-il vraiment avec nos bons vieux DAB ? Et pourquoi tant de monde en parle ? Il est temps de faire la lumière sur cette annonce qui fait tant réagir.

La rumeur qui fait trembler les réseaux sociaux

Depuis quelques jours, une vidéo tourne partout sur TikTok. Elle dit que les distributeurs automatiques de billets vont tous disparaître en 2025. Certaines personnes croient même qu’il faudra un papier spécial pour retirer son propre argent.

Des célébrités ont partagé cette idée, comme le rappeur Akhenaton. Il s’est moqué de la situation en parlant de justificatifs. Résultat, des milliers de gens ont paniqué. Ils ont peur de ne plus pouvoir retirer de l’argent quand ils veulent.

Mais cette rumeur va un peu trop loin. Car la vérité est bien différente. Les banques ne vont pas interdire les retraits. Elles pensent juste à changer la façon de faire. Alors, pas de panique, vos billets ne sont pas en danger.

Pourquoi les banques veulent changer les distributeurs

Depuis plusieurs années, les gens utilisent moins d’argent liquide. Avant, on payait presque tout avec des pièces ou des billets. Aujourd’hui, la carte bancaire a tout changé.

On peut payer avec un téléphone ou même une montre. Du coup, les banques trouvent que les distributeurs coûtent trop cher. Ils sont souvent vides, ou cassés, et il faut les entretenir. Pour elles, ce n’est plus utile d’en avoir autant.

Elles ont donc décidé de faire un changement. Mais pas pour vous compliquer la vie. Juste pour gagner du temps et de l’argent. Elles veulent aussi proposer un service plus simple, avec moins de machines mais plus efficaces.

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L’ail est un ingrédient que nous utilisons presque quotidiennement en cuisine. Nous avons l’habitude de jeter ses pelures dans la poubelle spéciale, mais en réalité, c’est une action que nous ne devrions jamais faire. Aujourd’hui, nous vous expliquons pourquoi.

Manger de l’ail tel quel n’est qu’un geste pour les plus tenaces. L’utiliser pour assaisonner des centaines et des centaines de plats est une opération pour tout le monde. L’ail est l’un des principaux protagonistes d’une multitude infinie de recettes.

Une fois « déshabillées » (c’est-à-dire que les pelures qui contiennent ce dont nous avons besoin sont retirées), nous avons l’habitude de jeter l’enveloppe dans la poubelle. Cependant, il s’agit d’une action que nous ne devrions jamais faire car cette partie du légume nous permet d’accomplir une tâche très importante.

Avez-vous un jardin chez vous ? Quelques plantes ? Ce que vous devez savoir, c’est que les pelures d’ail fournissent d’énormes nutriments au terreau des plantes. Découvrons ensemble comment faire.


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Les manchots ne transpirent pas comme les autres oiseaux, mais ils disposent de mécanismes uniques de thermorégulation qui leur permettent de s’adapter à différentes conditions climatiques.

Il existe 18 espèces connues de manchots, dont la plupart vivent dans les régions froides de l’Antarctique. Cependant, le manchot des Galápagos, qui vit près de l’équateur, peut survivre à des températures de plus de 29 degrés Celsius grâce à des adaptations spéciales.

Au lieu de transpirer, les manchots refroidissent leur corps en respirant : ils étendent leurs nageoires et respirent fortement. Cette méthode est similaire à celle utilisée par les chiens pour se rafraîchir.

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Une étude menée par l’Université d’Oxford et l’Université de Tubu Gakuin a révélé des différences individuelles significatives dans les compétences de cassage de noix chez les chimpanzés. L’analyse de 3 882 cas d’utilisation d’outils en Guinée entre 1992 et 2017 a montré que certains individus, comme Pelie, 14 ans, faisaient preuve d’une habileté exceptionnelle, tandis que d’autres, comme Djedje, 15 ans, éprouvaient des difficultés à accomplir cette tâche.

Les scientifiques ont constaté que le niveau de compétence des chimpanzés augmentait avec l’âge, mais qu’il n’y avait pas de différences entre les sexes. Des enregistrements vidéo ont montré des exemples d’apprentissage : la femelle adulte Fanle a transmis son savoir-faire à son fils Flanle, l’aidant à maîtriser la technique de cassage des noix.

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Auparavant, toutes les girafes étaient considérées comme appartenant à la même espèce, mais l’analyse de 515 crânes par balayage 3D a révélé des différences significatives dans la morphologie crânienne et les ossicones (excroissances osseuses).

Cette classification est d’une grande importance pour la conservation des girafes, qui sont environ 117 000 à l’état sauvage.

Les scientifiques soulignent la nécessité de reconnaître ces espèces au niveau international et de créer des stratégies distinctes pour leur conservation.

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Peter Kertesz, consultant dentaire au zoo de Londres, traite les dents d’espèces allant des éléphants aux dauphins. Selon lui, les traumatismes dentaires sont plus fréquents chez les animaux que les caries, qui sont principalement dues à un régime alimentaire inadapté.

Les animaux sauvages mangent des aliments grossiers qui nettoient mécaniquement leurs dents, empêchant ainsi la formation de la plaque dentaire. Par exemple, les carnivores déchirent la viande et les herbivores mâchent des végétaux coriaces, ce qui aide les dents à se nettoyer.

Dans les zoos, en revanche, les animaux bénéficient d’une alimentation de qualité et de soins médicaux qui leur permettent de vivre plus longtemps, mais cela entraîne parfois des problèmes dentaires si le régime alimentaire n’est pas le même que leur régime naturel.

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Une nouvelle étude publiée dans la revue Royal Society Open Science révèle que moins de 7 % des baleines à bosse mâles des eaux de Nouvelle-Calédonie deviennent pères. Une analyse de la paternité sur une période de 25 ans, de 1995 à 2019, a révélé que 93 % des mâles n’avaient pas de descendance génétique et qu’aucun d’entre eux n’avait engendré plus de deux baleineaux. Les raisons de ce faible taux de paternité et de la variation significative du succès entre les mâles ne sont pas encore entièrement comprises.

Les scientifiques attribuent ces résultats à la concurrence féroce que se livrent les mâles pour s’accoupler. Les baleines à bosse mâles se livrent à une compétition physique entre elles ou tentent d’attirer l’attention des femelles par leurs chants.

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Un nouveau quartier respectueux de l’environnement, Mareterra, a vu le jour au cœur du littoral monégasque. Plus de 300 entreprises et travailleurs de plus de 40 pays ont participé à ce projet international.

La moitié des 6 hectares du quartier est consacrée à des parcs et à des zones de loisirs. La principale caractéristique de Mareterra est qu’il est construit directement sur l’eau à l’aide de caissons sous-marins – de grandes structures en béton. Ces caissons créent non seulement de nouveaux terrains, mais servent également d’habitat à la vie marine, favorisant ainsi la biodiversité locale.

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La nouvelle technologie d’impression d’images « thermochromomorphes » permettra de créer des images dynamiques qui changent en fonction de la température ambiante. La principale différence par rapport à toutes les versions antérieures des encres thermochromes est la possibilité de créer des images complexes en couleur. Cette technologie est coûteuse et n’est pas encore au point, mais les perspectives dans ce domaine sont très prometteuses.

Une telle image comporte deux couches, chacune devenant transparente lorsqu’une certaine température est atteinte. Elles sont sélectionnées de manière à ce que l’occultation d’une couche permette de voir la seconde et vice versa. Par exemple, une image représentant un poisson chauffé à 35℃ se transforme en un squelette de ce poisson, carbonisé par le feu. Cela sert d’avertissement que cet objet est dangereusement chaud.

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La société canadienne Plantaform a dévoilé au CES 2025 un mini-jardin automatisé utilisant la technologie de l’hydroponie par brumisation. Il a été créé spécifiquement pour les astronautes de la NASA afin qu’ils puissent cultiver des légumes à bord des stations spatiales.

Son efficacité est démontrée par les chiffres : il utilise 98 {a6960e9bd02b4e41f7367519c051427ef0113c5f6ad298b8c4a3c62ff2969ff8} d’eau en moins que le jardinage traditionnel, 30 à 50 {a6960e9bd02b4e41f7367519c051427ef0113c5f6ad298b8c4a3c62ff2969ff8} en moins que les systèmes hydroponiques et 10 {a6960e9bd02b4e41f7367519c051427ef0113c5f6ad298b8c4a3c62ff2969ff8} en moins que les plantes aéroponiques.

Pour démarrer un mini-jardin, il faut placer à l’intérieur plusieurs récipients contenant chacun un ensemble de graines. Le milieu nutritif pour les plantes est la laine minérale, qui remplace la terre. L’appareil est ensuite rempli d’eau et de poudre nutritive spéciale dans deux récipients situés dans la partie supérieure.

Il suffit ensuite de scanner le code figurant sur l’emballage des conteneurs de semences à l’aide d’un smartphone. L’application iOS/Android répondra instantanément en fournissant des informations pertinentes sur la culture des plantes souhaitées.

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